Alban, de la direction d’Abrinoval à la ligne d’arrivée de l’Ironman

« Ce sont les heures d’entraînement

qui forgent le mental. »

Chez Abrinoval, on connaît bien les défis… Mais celui-ci, c’est un autre niveau. 3,8 km de nage, 180 km de vélo et 42,2 km de course à pied pour finir. C’est l’un des deux gérants d’Abrinoval, Alban qui a relevé le challenge de l’Ironman des Sables d’Olonnes qui a eu lieu dimanche 22 juin.

Un mental d’acier, des mois de préparation, et un défi hors normes :

Alban revient pour nous, sur cette aventure humaine et sportive.

Nous lui avons posé quelques questions pour comprendre ce qui l’a poussé à s’engager dans cette aventure, comment il l’a préparée, et ce qu’il en retient aujourd’hui.

Qu’est-ce qui t’as motivé à participer à cet Ironman ?

Passioné de sport en général – du tennis au foot, en passant pas le golf ou la musculation – j’aime absolument tous les sports. Ce qui m’anime surtout, c’est de comprendre pourquoi certains athlètes sont plus forts que d’autres : comment ils s’entrainent, quelles méthodes et quels outils technologiques ou techniques ils utilisent.
Quand je me lance dans quelque chose, c’est toujours avec l’envie de faire les choses au mieux, de réussir chaque fois. Je ne serai peut-être jamais le meilleur dans un domaine, mais je suis plutôt bon partout.
J’ai pratiqué énormément de sports, à l’école, au collège, au lycée, puis en faculté de sport pendant mes trois années de licence. Tennis, badminton, volley, escalade, foot, basket, handball etc.
Ma passion de cœur reste le foot, que j’ai pratiqué de mes 6 ans jusqu’à mes 27 – 28 ans. En parallèle, j’ai toujours gardé une activité physique variée : musculation, natation (j’ai été nageur sauveteur pendant 5 ou 6 saisons). Ensuite, je me suis mis au crossfit pendant 5 – 6 ans : une super discipline, très complète, avec une préparation physique vraiment intéressante pour être en forme au quotidien.
Mais j’avais l’impression d’avoir fait le tour : tous les mouvements de gym maîtrisés, les objectifs atteints… Je tournais un peu en rond. Toujours animé par cette envie d’apprendre et de relever de nouveaux défis, je me suis tourné vers le triathlon. Trois disciplines que je maîtrisais déjà : natation, vélo, course à pied. Et le Graal, c’était évidemment l’Ironman : 3,8 km de natation, 180 km de vélo et un marathon pour finir. L’épreuve ultime.

 

Comment t’es-tu préparé physiquement et mentalement pour cette expérience ?

J’ai fait ma préparation seul pendant près de 7 – 8 mois : beaucoup de vélo, une préparation marathon et le marathon de La Rochelle en novembre dernier. J’ai lu énormément, regardé des vidéos sur YouTube pour m’imprégner de cette discipline.
À force d’échanger avec un ami coach sportif (et triathlète expérimenté) sur Instagram, on a décidé qu’il m’accompagnerait pour sa première préparation complète sur un format XXL. S’en sont suivis 3 mois de prépa intensive.
Mentalement, je n’ai pas eu de préparation spécifique. Ce sont les heures d’entraînement qui forgent le mental. Quand tu te lèves à 5h du matin pour t’entraîner sur home-trainer jusqu’à 8h, que tu enchaînes avec ta journée de travail, puis ta vie de famille le soir… c’est dur. Mais tu sais pourquoi tu le fais, et tu ne lâches pas.

 

Quelles ont été les plus grandes difficultés rencontrées pendant la course ? Comment les as-tu surmontées ?

La natation et le vélo se sont très bien passés. J’avais même 30 minutes d’avance à vélo, sans avoir eu l’impression de forcer. Mais le marathon reste l’épreuve la plus difficile. Arrivé vers le 15 ème / 16 ème km, j’ai commencé à avoir de très grosses douleurs dans les cuisses. Il a fallu tenir bon, accepter de ralentir pour ne pas exploser.
Ce qui m’a permis de tenir, ce sont mes proches. Mon père qui m’a suivi toute la journée à vélo sur 60 – 70 km. Ma mère, ma femme, ma fille, mes amis, mes collègues… Et puis je repensais à tous ces entraînements dans le froid, sous la pluie, aux réveils à 6h pour aller nager, aux dimanches passés à pédaler au lieu d’être en famille. Ce sont d’énormes sacrifices. Impossible de lâcher si proche du but.

 

Qu’est-ce que ça t’a appris sur toi-même ?

Ça m’a appris énormément. Quand on se lance un défi comme un Ironman, on pose toutes les cartes sur la table : ce que tu es, ce que tu veux devenir, ce que tu veux laisser derrière toi.
Il y avait des choses en moi que je ne voulais plus. Je voulais retrouver une ligne de conduite, être quelqu’un de droit. Comme tout le monde, j’avais un manque de confiance en moi sur certains aspects. Pendant la préparation, on élimine peu à peu les mauvaises cartes, et on en redécouvre d’autres. Ce n’est pas magique, ça ne se fait pas du jour au lendemain. Mais on développe des compétences, comme dans un jeu vidéo : la résilience, la rigueur, la discipline, la fierté d’avoir accompli quelque chose de grand.
Et puis il y a la reconnaissance de ses proches. Pas celle des réseaux. Quand tu fais 180 km seul à l’entraînement, personne n’est là pour te féliciter. Mais tu franchis la ligne et que tu vois ta mère, ton père, ta femme, tes amis fiers de toi… Tu réalises que tu fais tout ça pour ce moment précis. 

Comment les compétitions sportives influencent-elles ta vie personnelle et professionnelle ?

Le sport véhicule des valeurs incroyables : dépassement de soi, rigueur, solidarité, respect, fair-play. On veut gagner oui, mais avec grandeur. C’est aussi du partage : on est adversaires le temps d’une course, mais à la fin, on boit un verre ensemble, on échange, on crée du lien.
C’est un vrai mode de vie sain, pour le corps et l’esprit.
Dans ma vie pro, c’est pareil.
À titre personnel, je cherche toujours à m’améliorer, à améliorer nos produits, à aller chercher les petits détails qui font la différence.
En tant que manager, j’essaie de créer une vraie cohésion d’équipe. J’apprends à mes collaborateurs à se respecter, à s’entraider, à se dépasser pour être fiers de ce qu’ils font. Et vis-à-vis des clients, je veux transmettre cette recherche d’excellence dans nos produits, dans notre travail, tout en gardant un esprit familial, une énergie positive. Le client sent qu’on va se donner à fond pour le satisfaire.
Je ne parle jamais de la concurrence pour critiquer. Je peux comparer objectivement des produits, mais jamais dénigrer. J’ai commencé par poser des abris de piscine, et 15 ans plus tard je suis dirigeant. Je pense avoir trouvé un produit idéal en termes de performance, qualité, longévité. Et les clients le sentent, surtout parce qu’ils savent que je me donne à 1000%. C’est ce qui compte le plus pour moi.

 

En franchissant cette mythique Finish Line, en allant jusqu’au bout, jusqu’à entendre l’iconique « YOU ARE AN IRONMAN », il fait partie des 0,0006% de la population mondiale à avoir accompli cet exploit. Il a repoussé ses limites, tenu bon jusqu’au bout, et montré que rien n’est impossible.

Et pour ça, on ne peut qu’être fière de lui.

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